Le procès fictif a eu lieu

Le procès fictif a eu lieu !

Jeudi 18 février s’est tenu le procès fictif de Kevin Duchemin versus Lou Anne Cassedale au lycée Stéphane Hessel. Les différents acteurs du procès étaient joués par les élèves de l’option DGEMC et l’audience était présidée par Aude Rathle, magistrate au tribunal d’Avignon avec qui nous travaillons en partenariat depuis le début de l’année. 

Mme Rathle a soumis aux élèves une affaire fictive qui était résumée dans un dossier complet (retranscription des auditions des prévenus, victimes, témoins, experts,…). Les élèves ont pendant plusieurs semaines épluché et analysé le dossier puis préparé leurs différents rôles. Il y avait un prévenu, une victime, 6 témoins, 2 avocats, un procureur et 3 juges. 

Le procès comprenait une part d’inattendu car les élèves n’ont pas travaillé ensemble ainsi nous ne connaissions pas l’issue du procès et même la magistrate a été étonnée de la tournure des évènements et du verdict finalement prononcé.

Bravo aux élèves !
F. Musson

Des lycéens au tribunal d'Avignon !

Les lycéens de l’option droit au tribunal d’Avignon !

Le vendredi 2 octobre, nous avons eu la chance, nous élèves de l’option DGEMC, d’assister à une audience du tribunal correctionnel d’Avignon présidée par la magistrate Aude Rathle, qui intervient également dans nos cours. Le monde juridique s’est alors ouvert à nos yeux, un monde inconnu ou peu connu jusqu’alors. C’est avec curiosité et envie que nous sommes restés pendant presque 4h à écouter attentivement les faits, les plaidoiries des différentes parties, les réquisitoires du procureur de la république et les peines appliquées par la présidente et ses 2 assesseurs. Outre le fait de découvrir les différents métiers de la justice, cela nous a permis au passage de briser quelques stéréotypes tirés des séries policières américaines (les juges n’ont pas de marteaux !!). Et cela nous a surtout permis de comprendre que la justice n’est pas là systématiquement pour punir mais aussi pour aider les prévenus à prendre conscience de la gravité de leurs actes afin qu’ils ne réitèrent. Il y a donc toute une dimension pédagogique notamment quand le juge explique les raisons qui les ont conduits à appliquer cette peine. 

L’une des choses qui nous a le plus marqué a été l’impartialité des juges, ils ne portent aucun jugement, ils sont ici sans aucun préjugé et à l’écoute de l’accusé. Ils sont ici pour énoncer les faits et pour appliquer la loi le plus correctement possible tout en respectant les droits des individus.

Les 
élèves de l’option DGEMC.

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